Bjr
Je viens
Il se peut que je rajoute une dame
Pour Frederick, pas d'histoire larmoyante sur un orphelin dont les parents aurait été tué par la Fédération, non. Sa vie fut on ne peut plus banale. Ses parents vivaient parfaitement heureux et furent ravit de la naissance de leur fils aux beaux yeux bleus. Pourtant, ils choisirent de "divorcer" quand il avait 8 ans d'un commun accord. En effet, sa mère était d'origine Epsiolonienne, il lui était donc impossible de rester dans l'Empire Terrien sans risquer sa vie. Ne présentant pas encore de signe du gêne Epsilonien, il avait été décidé que Frederick resterait avec son père car l'Empire Terrien était plus développé qu'Epsilon et cela assurait donc des conditions de vie plus agréable.
Mais quelques années plus tard, alors qu'il aidait son père dans son atelier de métallurgie, ils ont découvert avec effroi qu'il possédait bel et bien des capacités non humaines. La capacité de contrôler les roches et le métal. Pour une personne aussi effacé que Frederick la découverte d'une mutation d'une telle puissance fut effrayante. Comment la contrôler ? Comment la cacher ?
Le plan initiale fut de l'envoyer clandestinement sur Epsilon pour lui assurer la sécurité, mais il fut vite avorté car jugé trop dangereux. Le métal et la lave étant abondants sur Al-Fal, planète colonisée par la Fédération sur la quelle lui et son père habitaient, il aurait été compliqué de cacher sa mutation, voir impossible. Ils déménagèrent donc sur Terre où se père se trouva une nouvelle compagne. Cette femme avait une fille avec qui il lia une certaine amitié, plus qu'une réelle relation fraternel. Cette jeune fille s'appellait Eurydice. Leurs parents ne restèrent pas longtemps ensemble mais néanmoins il la considérait et la considère toujours comme une demi sœur, d'autant que la pauvre enfant avait la chique pour se retrouver dans des situations compromettantes qui finissait le plus souvent par elle, rentrant à l'appartement recouvertes de bleus et autres blessures. Frederick n'était pas le genre de personne à se battre, mais il lui est arrivait, assez régulièrement, de défendre Eurydice par la force. Pas avare de paroles, c'était sa manière de montrer qu'il tenait à elle comme à une petite sœur.
Calme et discipliné, Frederick ne représente à priori aucun danger, tout comme un volcan endormit.
Pauvre Eurydice, quel toucher meurtrier que celui d'un serpent ! Te voici aux enfers, royaume d'Hadès où règne mort et terreur. Mais qu'ouï-je ? Ton bel Orphée est là pour te sauver ? Qu'il en soit ainsi, mais qu'il ne se retourne point ou ceci sera ta demeure éternelle.
Que vois-je ? Eurydice de retour aux enfers ?
Pauvre, pauvre Eurydice. Qu'est-il de plus meurtrier qu'un homme ?
Ne le sais-tu point ? Mais enfin, la réponse est évidente !
Ta peau de lait plus douce que la caresse d'une plume, tes beaux yeux dans les quels on se noie avec délectation, ta longue chevelure qui emprisonne tout cœurs solitaires, ta beauté ingénue, Ô belle Eurydice tout ceci n'est que fumée. Tes pensées sont meurtries d'une folie instable, tu es le danger même. Pourtant,
pourtant tu n'as jamais rien fais de mal. Non. Jamais. Pas une seule fois en vingt années d'existence sur cette terre. Alors pourquoi t'a-t-on arrêté ? Tu es ce que les docteur appelle « mentalement instable », ou, des fois « dérangée ». Ce ne sont pas des jolies formulations, tu ne les aimes pas. Tu préfères dire de toi que tu es lunatique. Peut être un peu névrosée. Mais cela n'a jamais nécessité une telle violence à ton égard. Pourquoi t'avoir arrêté ? Tu n'es qu'une enfant, sans père, avec pour seule famille une mère qui jamais n'a posé un regard sur toi.
Ton simple toucher, tout comme le serpent, peut tuer. Ton monde, tout comme Hadès, n'est que mort et terreur. Tes actes, tout comme Orphée, sont irréfléchis.
Par ton seul bon vouloir, tu peux faire pourrir les entrailles d'un homme alors qu'il se tient devant toi. D'une caresse, faire fondre sa chair sur ses os blancs. D'un battement de cils, l'envoyer dans ton royaume.
Je viens
Il se peut que je rajoute une dame

Frederick Silver
Contrôle des roches et du métal - 28 ans
Pour Frederick, pas d'histoire larmoyante sur un orphelin dont les parents aurait été tué par la Fédération, non. Sa vie fut on ne peut plus banale. Ses parents vivaient parfaitement heureux et furent ravit de la naissance de leur fils aux beaux yeux bleus. Pourtant, ils choisirent de "divorcer" quand il avait 8 ans d'un commun accord. En effet, sa mère était d'origine Epsiolonienne, il lui était donc impossible de rester dans l'Empire Terrien sans risquer sa vie. Ne présentant pas encore de signe du gêne Epsilonien, il avait été décidé que Frederick resterait avec son père car l'Empire Terrien était plus développé qu'Epsilon et cela assurait donc des conditions de vie plus agréable.
Mais quelques années plus tard, alors qu'il aidait son père dans son atelier de métallurgie, ils ont découvert avec effroi qu'il possédait bel et bien des capacités non humaines. La capacité de contrôler les roches et le métal. Pour une personne aussi effacé que Frederick la découverte d'une mutation d'une telle puissance fut effrayante. Comment la contrôler ? Comment la cacher ?
Le plan initiale fut de l'envoyer clandestinement sur Epsilon pour lui assurer la sécurité, mais il fut vite avorté car jugé trop dangereux. Le métal et la lave étant abondants sur Al-Fal, planète colonisée par la Fédération sur la quelle lui et son père habitaient, il aurait été compliqué de cacher sa mutation, voir impossible. Ils déménagèrent donc sur Terre où se père se trouva une nouvelle compagne. Cette femme avait une fille avec qui il lia une certaine amitié, plus qu'une réelle relation fraternel. Cette jeune fille s'appellait Eurydice. Leurs parents ne restèrent pas longtemps ensemble mais néanmoins il la considérait et la considère toujours comme une demi sœur, d'autant que la pauvre enfant avait la chique pour se retrouver dans des situations compromettantes qui finissait le plus souvent par elle, rentrant à l'appartement recouvertes de bleus et autres blessures. Frederick n'était pas le genre de personne à se battre, mais il lui est arrivait, assez régulièrement, de défendre Eurydice par la force. Pas avare de paroles, c'était sa manière de montrer qu'il tenait à elle comme à une petite sœur.
Calme et discipliné, Frederick ne représente à priori aucun danger, tout comme un volcan endormit.


Hamilton
Omniprésence - 32 ans
Hamilton est un pirate.
Qu'on se comprenne bien, pas un pirate qui navigue à travers les eaux sur son fidèle navire où flotte au vent un pavillon noir, non, le capitaine Hamilton est un corsaire de l'espace. (Albator, Albator, du fond de la nuit d'ooooor) Connu de tous pour ses abordages aussi nombreux que réussis envers les vaisseau de la Fédération, il sévit dans la voie lactée depuis maintenant six années. Hamilton éprouve une haine inconsidérée pour cette Fédération qu'il avait pourtant pour habitude d'acclamer dans son ancienne vie.
Autrefois jeune professeur d'histoire vantant les mérites de la Fédération et de son Empire Colonial, Hamilton n'a jamais soupçonné une quelconque anomalies dans son code génétique. Pourtant, il est bel et bien mutant. Doté du don d'omniprésence, il a la capacité de se trouver à plusieurs endroits en même temps, don qu'il a découvert en essayant d'espionner sa fiancée (n'ayez pas peur). A partir de là, on peut dire que tout a basculé, mais ce n'est pas son monde qui a changé ; c'est lui. En tant que professeur d'histoire, le traitement des mutants ne lui était pas inconnu, et cette nouvelle lui fit porter un tout nouveau regard sur les actions de la Fédération qui s’avéraient désormais révoltantes à ses yeux. Loin d'être idiot, il préféra fuir loin de ces barbares plutôt que d'essayer de vivre caché. La mutation c'était déclenchée et il n'avait aucun moyen de la refréner.
Ainsi était né le capitaine Hamilton.
Son charisme et son intelligence on fait de lui une personne respectée parmi les contrebandiers et son « équipage » n'était composé que d'hommes de confiances. Néanmoins, munit de beaux cheveux blonds soyeux et d'un regard de glace perçant, il va sans dire qu'il s'agit d'un bel homme (et nul doutes qu'il en est conscient) mais comme tout bel homme qui se sait beau il est aussi d'une arrogance à en faire pâlir Apollon. Et c'est sûrement cette arrogance qui a causé sa perte. Ses « hommes de confiances » l'ont trahi et livré à la Fédération en l'échange d'une somme considérable. Pirate et mutant, sa tête devait en effet peser son pesant d'or.
Pourtant Hamilton est bien plus qu'un beau corsaire fier et dédaigneux, mais cette façade lui permet de garder une certaine constance et de toujours se sortir des situations délicates dans les quelles il se retrouve, aussi compte-il beaucoup sur sa ruse et son intelligence pour se sortir de cette mission suicide.


Eurydice Rhodes
Contrôle de la matière organique - 20 ans
(c'est abstrait, demandez moi si vous ne comprenez pas)
Le mythe d'Eurydice est bien simple.
Un bel après-midi, en cueillant des fleurs, Eurydice mourut.
Pauvre Eurydice, quel toucher meurtrier que celui d'un serpent ! Te voici aux enfers, royaume d'Hadès où règne mort et terreur. Mais qu'ouï-je ? Ton bel Orphée est là pour te sauver ? Qu'il en soit ainsi, mais qu'il ne se retourne point ou ceci sera ta demeure éternelle.
Que vois-je ? Eurydice de retour aux enfers ?
Pauvre, pauvre Eurydice. Qu'est-il de plus meurtrier qu'un homme ?
Ne le sais-tu point ? Mais enfin, la réponse est évidente !
Toi.
Eurydice Rhodes, fléau des hommes.
Tu es Eurydice, tu es le serpent, tu es Hadès, tu es Orphée et tu es l'Enfer à toi seule.
Ta peau de lait plus douce que la caresse d'une plume, tes beaux yeux dans les quels on se noie avec délectation, ta longue chevelure qui emprisonne tout cœurs solitaires, ta beauté ingénue, Ô belle Eurydice tout ceci n'est que fumée. Tes pensées sont meurtries d'une folie instable, tu es le danger même. Pourtant,
pourtant tu n'as jamais rien fais de mal. Non. Jamais. Pas une seule fois en vingt années d'existence sur cette terre. Alors pourquoi t'a-t-on arrêté ? Tu es ce que les docteur appelle « mentalement instable », ou, des fois « dérangée ». Ce ne sont pas des jolies formulations, tu ne les aimes pas. Tu préfères dire de toi que tu es lunatique. Peut être un peu névrosée. Mais cela n'a jamais nécessité une telle violence à ton égard. Pourquoi t'avoir arrêté ? Tu n'es qu'une enfant, sans père, avec pour seule famille une mère qui jamais n'a posé un regard sur toi.
Car tu es létale Eurydice.
Ton simple toucher, tout comme le serpent, peut tuer. Ton monde, tout comme Hadès, n'est que mort et terreur. Tes actes, tout comme Orphée, sont irréfléchis.
Par ton seul bon vouloir, tu peux faire pourrir les entrailles d'un homme alors qu'il se tient devant toi. D'une caresse, faire fondre sa chair sur ses os blancs. D'un battement de cils, l'envoyer dans ton royaume.
Mais cela, Ô cruelle Eurydice, tu ne le sais pas encore.


Tell me, Atlas.
What is heavier
The world or its people’s hearts ?